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Le 15 mai : grève très suivie dans la Fonction Publique


Avec une forte mobilisation dans l’éducation nationale premier degré (60%) et second degré ( 55%) et une présence importante des personnels ATOSS.

Lycéens, parents, fonctionnaires, ont engagés ce 15 mai une journée de grève et de manifestations très suivies, pour défendre le pouvoir d’achat, et dénoncer les dizaines de milliers de suppressions de postes dans l’éducation nationale.

Le ministre de la fonction publique doit tenir compte de cette mobilisation : ce n’est pas une manifestation de plus, mais le signe d’un malaise qui s’accroît et le gouvernement aurait tort de le sous estimer.

Dans l ‘éducation, la quasi totalité des fédérations et syndicats avec les parents d’élèves de la FCPE ont soutenus les revendications sur les effectifs aux cotés des syndicats de lycéens UNL et FIDEL.


La FSU et l’UNATOS appellent le gouvernement à prendre la mesure des attendes, des revendications et du mécontentement et à y répondre au plus vite par de premiers gestes :
- une ouverture immédiate de négociations sur les salaires des fonctionnaires
- une révision sur des décisions d’abandon de missions et de suppressions d’emplois dans les services publics et sur le projet de la loi sur la mobilité, d’ouvrir un vrai débat public sur les besoins en matière de services publics et la façon d’y répondre.

Ce n’est pas par le mépris qu’il faut répondre mais par des négociations dans le cadre d’un véritable d’un dialogue social.


news.gifLes 4 dernières nouvelles

Appel FSU pour le 24 mai 2008 - par le 21/05/2008 @ 12:10

APPEL des fédérations de l’éducation
(FERC-CGT, FSU, SGEN-CFDT, UNSA Education, SUD Education),
de la FCPE, l'UNEF, l'UNL, la FIDL et des associations complémentaires
(la JPA, la Ligue de l’Enseignement et les CEMEA)
 
Les fédérations de l’éducation (FERC-CGT, FSU, SGEN-CFDT, UNSA Education, SUD Education), la FCPE, l'UNEF, l'UNL, la FIDL et les associations complémentaires (la JPA, la Ligue de l’Enseignement et les CEMEA) se félicitent du succès du développement de l’ensemble des mobilisations, notamment de la journée de grève du 15 mai.
Les organisations dénoncent l’absence de vraies réponses du ministre de l’Education Nationale et du gouvernement aux revendications et exigences exprimées.
L'annonce d'un projet de loi imposant un service d’accueil des élèves le jour de grève par les communes et la remise en cause des conditions d’exercice du droit de grève constituent une diversion et une véritable provocation.
Les organisations signataires rappellent leurs exigences d’un service public de qualité qui permette par une autre politique éducative et budgétaire de transformer l’école et de mettre en place des dispositifs pédagogiques et de soutien innovants.
Elles rappellent leur opposition aux milliers de suppressions de postes, à la multiplication des heures supplémentaires et au développement de la précarité qui ont des conséquences néfastes sur la qualité du service public de l’éducation nationale et dans l’enseignement agricole public.
Elles rappellent que le projet de programmes pour le premier degré traduit une vision passéiste et rétrograde de l’école ainsi qu’un recul pédagogique et didactique. Il a été très largement contesté par les personnels, les formateurs, les chercheurs et les parents.
Les organisations rappellent leur exigence d'une réforme des lycées concertée ayant pour objectif la réussite de tous les élèves et permettant le maintien et l'amélioration des voies générales, technologiques et professionnelles, à l'opposé des logiques purement comptables portées par le gouvernement.
Elles demandent au gouvernement de prendre la mesure du mécontentement et de l’inquiétude exprimés.
Elles appellent à poursuivre et amplifier les mobilisations en cours au plan national et local.
Faisons du samedi 24 mai une grande journée nationale de manifestations qui réunissent tous les acteurs de la communauté éducative : parents, enseignants et personnels de l'éducation, associations complémentaires, lycéens, étudiants.
Elles envisageront ensemble très rapidement les suites à donner si le gouvernement ne prend pas en compte attentes et revendications.
CEMEA, FCPE, FERC-CGT, FIDL, FSU, JPA, Ligue de l’Enseignement, SGEN-CFDT, SUD Education, UNEF, UNL, UNSA Education.
Le 20 mai 2008

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Appel FSU pour le 22 mai 2008 - par le 21/05/2008 @ 12:07

CGT   FO   FSU  Solidaires
Agents de la fonction publique : dans l’action le 22 mai


Les organisations syndicales de la Fonction publique appellent l’ensemble des personnels à participer massivement à la journée nationale du 22 mai aux côtés des autres salarié-e-s pour la défense de la retraite solidaire par répartition, pour la revalorisation des pensions et contre l’allongement annoncé de la durée de cotisation.


Après le succès du 15 mai, cette journée doit être l’occasion de reposer également les questions du pouvoir d’achat, de l’emploi public, de la défense du statut et des services publics.

Elles appellent les personnels à tout faire pour  en assurer la réussite, en participant massivement aux manifestations, et par toute forme de mobilisation pouvant aller jusqu’à la grève.

Elles décident de se rencontrer de nouveau dans les prochains jours pour décider des suites à envisager dans la Fonction publique, et appellent les personnels à en débattre.

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Communiqué pour le 15 mai - par le 02/05/2008 @ 15:04

Communiqué commun des organisations syndicales de la Fonction publique :

CGT, UNSA, FSU, Solidaires, CFTC

POUR DEFENDRE ET AMELIORER LA FONCTION PUBLIQUE !

Place à la mobilisation

Le projet de loi « relatif à la mobilité et aux parcours professionnels » validé par le Conseil des ministres est en cours d’examen au Sénat. S’y retrouvent toutes les mesures dont les organisations syndicales ont unanimement demandé le retrait, des mesures lourdes de conséquences pour les personnels et le service public sans le moindre dialogue social.

L’objectif essentiel est de faciliter les suppressions massives de postes dans la Fonction publique (35000 à 40000 emplois par an), en articulation avec les mesures annoncées dans le cadre de la Révision Générale des Politiques publiques. Cette RGPP traduit le profond désengagement de l’Etat. Elle induit l’affaiblissement voire la suppression ou la privatisation de missions et de services ainsi que la détérioration des conditions de travail et l’accroissement de la précarité.

C’est bien un plan social qui s’annonce à la Fonction Publique même si le Gouvernement en refuse l’appellation ! A cela s’ajoutent les pertes de pouvoir d’achat des personnels.

La Révision Générale des Politiques Publiques comme la réforme de l’Etat se mettent en œuvre sans débat public, sans que soient posées la question des missions de service public et celle des besoins des usagers et des citoyens sur l’ensemble du territoire.

Pour une Fonction publique et des services publics de progrès social au service de la population, nous exigeons :

. un véritable débat démocratique sur la réforme de l’Etat et de la Fonction publique en partant des besoins de tous ;

. un emploi public, statutaire et qualifié, permettant des services publics de qualité accessibles sur l’ensemble du territoire ;

. l’amélioration du statut du fonctionnaire qui garantit la neutralité, l’impartialité et l’indépendance des agents dans l’exercice de leurs missions ;

. un développement de la mobilité choisie qui s'oppose à la mobilité subie et l'abandon du recours à l'intérim.

Les organisations signataires appellent les personnels à se mobiliser entre le 13 et le 17 mai et à associer l’ensemble de la population à leurs actions.

Elles décident de faire du jeudi 15 mai, une étape massive et rassemblée de la mobilisation notamment par la grève et/ou des manifestations.

Le 25 avril 2008

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Décret de transfert des TOS : infos - par le 02/05/2008 @ 14:54

Suite à l’information que nous vous avons faite sur la dépêche de l’AEF qui relate la proposition du commissaire du gouvernement d’annuler le décret transférant les tos aux collectivités territoriales, il nous semble important de préciser quelques points et de donner notre point de vue de la situation.

Sur décret n° 2005-1631 du 26 décembre 2005 émanant du ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche :

Son contenu : il fixait les modalités du transfert en désignant les missions transférées et s’engageait à compter du 20 janvier 2007 après avis des comités techniques paritaires académiques à transmettre le nombre d’emplois et fractions d’emplois concernés ainsi que la liste nominative des agents.

Or cette partie n’a pas toujours été effectuée ou du moins de façon incomplète car les services des rectorats n’étaient pas prêts à la date des premiers transferts des personnels et cela constitue un vice de forme.

Ainsi la requête faite auprès du Conseil d’Etat par certains départements, régions et l’association des régions de France (ARF) n’a pas la vocation ni la volonté de remettre en cause la décision politique du transfert par l’annulation possible de ce décret.

Le différent qui oppose l’état et les collectivités porte sur la hauteur des moyens transférés. Pour chaque emploi transféré l’état autorise une compensation qui correspond au salaire de base de la filière de la catégorie C soit à l’indice 283, sans prendre en compte l’échelle effective de rémunération de la personne. Par exemple pour un adjoint technique principal de 1 ère classe indice 430, c’est la collectivité qui a pris à sa charge la différence. Ainsi sur les deux vagues de transfert par option des personnels, les collectivités ont financé une partie du coût des salaires sur leur ressources propres.

Or au 1er janvier 2009 le décret « balai » devait liquider la dernier contingent de ceux qui n’avaient pas exercé leur droit d’option, et ce en les mettant en détachement sans limitation de durée, auprès de la collectivité.

C’est sur cette dernière tranche qui va se porter l’enjeu de l’annulation possible du décret car comme l’évoque le président de région pays de Loire « l’annulation qui ne devrait s’appliquer qu’en 2009 permettrait au gouvernement de rectifier le tir »

En clair cela pourrait vouloir dire que l’état pourrait renoncer à ce dernier transfert en déclinant un nouveau décret qui limiterait la liste nominative à ceux des personnels qui ont opté en 2007 et 2008.

Quelles conséquences ?

Pour l’état renoncer à aller au bout du transfert c’est peut être aussi se mettre à l’abri des recours possibles, car mettre d’office les personnels non volontaires en détachement c’est rompre le contrat passé lors du recrutement du fonctionnaire.

Pour la collectivité c’est ne pas prendre en charge le surcoût de la dernière vague de transfert tout en gardant ces personnels en service dans les établissements et trouver ainsi une compensation au manque de transferts de moyens.
Pour les personnels, ils restent ainsi des personnels d’état leur contrat n’est pas rompu.

Pour le service public à plus long terme, l’état pourrait ne pas remplacer les personnels non transférés qui partent à retraite et ainsi affaiblir les moyens mis à disposition pour les missions d’accueil, d’hébergement, de restauration et d’entretien dans les établissements. Que feront alors les collectivités ? Seront elles « obligées » pour limiter les coûts de recourir à des contrats privés ? Que deviendrait alors la notion de mission éducative dénominateur commun de tous les personnels quelque soit sa fonction dans un établissement.

En tout état de cause, la finalité pour l’état, c’est à dire se désengager sur 90.000 personnels, ne serait pas remis en cause : il atteindrait de toute façon son objectif à plus ou moins long terme. Aux collectivités de faire les choix qui s’imposent pour assurer le continuité du service sans financement supplémentaire de la part de l’état.

Les pistes et marge de manœuvres pour les départements , les régions.

Rappelons que l’état finance le transfert des personnels sur la taxe des produits pétroliers pour les régions et sur la prime aux assurances pour les départements.

Par contre les collectivités ont leur capacités d’intervention limitées par la faiblesse de leurs ressources fiscales et augmenter l’impôt direct est toujours difficile face aux échéances électorales.

Ainsi à travers cette requête auprès du conseil d’état les collectivités veulent se faire entendre voire engager un bras de fer avec le gouvernement sur la répartition des moyens.

A travers tous ces enjeux, il doit rester une notion fondamentale à ne pas perdre de vue pour tous les personnels qu’ils soient sur des fonctions d’enseignement, ou de service , payés par l’état ou la collectivité territoriale, ils restent des personnels, sous l’autorité du chef d’établissement, et impliqués au sein de l’équipe éducative au service de l’élève.

Il faut mesurer la nécessité de continuer à faire vivre et entendre cette idée au sein de notre fédération. Ainsi faire croire que dorénavant il faudrait regrouper tous les personnels de la territoriale dans une branche ou un syndicat spécifique ne sert pas l’avenir des personnels et renie le sens de l’engagement des personnels ouvriers dans une fédération à majorité d’enseignants. Si tel était la cas autant rejoindre une grande confédération généraliste et éviter l’éparpillement des forces.

Mais l’UNATOS veut continuer à agir dans la FSU et faire vivre une vision du champ éducatif la plus large qui ne se limite pas aux enseignants.

De plus en plus notre fédération, et avec elle notre syndicat doivent se donner les moyens de faire évoluer leur fonctionnement et leurs instances pour être à tous les niveaux de pouvoir : Europe, Etat, région et département une force d’action et de proposition.

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